Fantasmes sur ma voisine au téléphone rose
libération des fantasmes torrides sur le telrose
Sarah
2/5/20254 min temps de lecture



Cela faisait des semaines que je fantasmais sur elle. Ma voisine, Claire, une femme d'une quarantaine d'années, élancée, avec une grâce naturelle qui me faisait perdre la tête à chaque fois que je la croisais dans l'escalier. Elle avait ce regard malicieux, ce sourire en coin qui semblait cacher mille secrets… et ces pieds parfaitement entretenus, toujours vernis d'un rouge intense, qui déclenchaient en moi des pensées bien moins innocentes.
Tout a commencé un soir où, incapable de trouver le sommeil, j'ai composé un numéro de hotline érotique. J'avais besoin de relâcher la tension qui s'était accumulée à force de l'observer en silence, de fantasmer sur son corps, ses courbes et surtout… ses pieds. Je me suis installé confortablement dans mon canapé, un verre de whisky à la main, et j'ai composé le numéro presque machinalement.
— Bienvenue dans votre espace de confidences coquines. Dites-moi ce qui vous excite…
La voix était chaude, sensuelle, et étrangement familière. Mon cœur a raté un battement. Ce timbre… c'était le sien. Claire.
— Bonsoir…, ai-je répondu, la gorge soudain sèche.
— Bonsoir… fit-elle en souriant presque dans sa voix. Que puis-je faire pour vous ?
Je me suis redressé, le souffle court. Mon esprit était en ébullition. Elle travaillait donc dans une hotline érotique ? Cette femme sophistiquée, toujours impeccable dans ses tenues élégantes, s'abandonnait donc à des jeux téléphoniques le soir venu ?
— Je… je crois que j'ai un problème, Claire…
Elle a marqué un silence.
— Oh… tu connais mon prénom ? a-t-elle murmuré, visiblement intriguée.
— Je suis ton voisin… ai-je avoué dans un souffle.
Un silence électrique a envahi la ligne. Puis, un petit rire sensuel a résonné à mon oreille.
— Alors, c’est toi…
Elle n’a pas raccroché. Au contraire, sa voix est devenue plus chaude, plus basse.
— Et que fais-tu en appelant une hotline érotique, voisin ? Tu fantasmes sur quelqu'un ?
Mon cœur battait à tout rompre.
— Oui… Je fantasme sur une femme magnifique… élégante… avec un sourire à faire fondre…
— Intéressant… souffla-t-elle. Et que fais-tu quand tu penses à elle ?
J’ai fermé les yeux, une main déjà glissant lentement sous mon jean.
— Je pense à ses jambes, à sa démarche… et à ses pieds…
Elle a poussé un léger soupir.
— Un fétichiste des pieds, donc…
Je me suis mordu la lèvre.
— Je rêve de les caresser… de les embrasser…
Elle a laissé échapper un petit gémissement, comme si mes mots éveillaient en elle une chaleur inattendue.
— Et si je te disais que je porte des sandales à talons en ce moment… et que mes ongles sont fraîchement vernis…
J’ai basculé la tête en arrière, l’image s’imposant dans mon esprit.
— Rouge ?
— Évidemment…
Son souffle est devenu plus court, plus rapide.
— Tu veux que je te décrive ce que je suis en train de faire ?
— Oui… ai-je murmuré, la main crispée sur mon sexe durci.
— Je suis allongée sur mon lit… mes jambes sont croisées, et mes orteils jouent avec le bout de mes sandales… Tu aimerais les embrasser ?
— Oui… tellement…
— Je vais glisser mes doigts entre mes orteils… imaginer que c’est ta langue qui les caresse…
Un gémissement m’a échappé.
— Tu veux que je continue ? a-t-elle demandé d’une voix chaude.
— S’il te plaît…
Elle a alors commencé à décrire, dans le moindre détail, comment elle glissait sa main le long de sa cuisse, comment elle délaçait lentement sa sandale, comment ses orteils effleuraient le tissu de ses draps… Mon imagination était en feu, transportée par sa voix douce et troublante.
— Je vais poser mon pied sur ta bouche… a-t-elle murmuré. Tu embrasses mes orteils un par un… lentement… Tu les suces doucement…
— Claire…
— Je veux sentir ta langue glisser sous ma voûte plantaire…
J’ai laissé échapper un long soupir, le corps en ébullition. Elle continuait, sa voix devenant plus rauque, plus fiévreuse. J’entendais le léger frottement des draps, les petits soupirs qu’elle ne retenait plus.
— Continue… ai-je supplié.
— Je suis en train de glisser ma main plus haut… sous ma jupe…
L’image m’a achevé. Mon souffle s’est accéléré, mon corps entier tremblait sous la tension. Je l’entendais haleter à l’autre bout du fil, comme si elle était aussi proche de la jouissance que moi.
— Tu es encore là ? a-t-elle soufflé, après une longue minute de silence.
— Oui…
Elle a éclaté de rire, un rire chaud et sensuel.
— Alors… tu veux vraiment passer me voir, voisin ?
J’ai repris mon souffle, le cœur battant encore la chamade.
— Si je viens… est-ce que tu me laisseras embrasser tes pieds ?
— Si tu es sage… peut-être plus que ça…
La ligne a coupé. Mon cœur battait encore la chamade. J’ai regardé par la fenêtre… et j’ai aperçu Claire, sur son balcon, un sourire en coin accroché à ses lèvres. Elle m’a regardé droit dans les yeux, avant de faire glisser lentement une de ses sandales de son pied… et de faire jouer ses orteils nus dans l’air tiède du soir.
J’ai compris à cet instant que cette nuit n'avait fait que commencer que commencer sur ce téléphone rose et qu'elle allait se poursuivre pour une baise hard!