Sous l’emprise du Professeur : fantasmes érotiques et soumission au téléphone rose

Soumission et domination au tél rose pour du sexe

Câline

5/7/20254 min temps de lecture

domination sexe au téléphone rose suisse
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Je m’appelle Élise. J’ai 24 ans. J’étudie la littérature dans une fac parisienne réputée, un vieux bâtiment couvert de lierre et d’histoires. J’ai toujours été studieuse, brillante même, mais sous cette apparente assurance, il y avait autre chose : un besoin profond de contrôle. Pas le mien. Celui de quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui saurait lire en moi mieux que moi-même. Quelqu’un comme lui.

Le professeur Delorme.

Il avait 45 ans. Une voix grave, lente, calme. Il ne haussait jamais le ton, mais dès qu’il entrait dans l’amphithéâtre, un silence respectueux s’installait. C’était lui, le maître. Et moi, je suis rapidement devenue bien plus que son élève.

Tout a commencé quand il a rendu ma dissertation, marquée d’un commentaire au crayon fin, presque effacé :

“Votre esprit cherche à se soumettre. Vous avez besoin d’un cadre. Venez me voir.”

J’ai relu la phrase au moins vingt fois. Il avait vu. Il avait compris. Mon ventre se serrait, pas de peur, mais d’excitation.

La première leçon.

Il m’avait reçue dans son bureau, porte close, livres alignés au millimètre près. J’avais mis une jupe noire trop courte pour l’université, des collants fins, et une chemise blanche à peine fermée. Il n’a même pas levé les yeux sur moi. Il m’a simplement dit :

— Assieds-toi. Et tais-toi. On ne parle que quand je l’autorise.

Et mon sexe s’est tendu sous ma culotte, humide, brûlant. Jamais un homme ne m’avait fait cet effet-là.

Il ne m’a pas touchée. Pas une seule fois. Il a seulement parlé. Pendant une heure. Sur les mécanismes de la soumission mentale, sur la fragilité du moi, sur les femmes brillantes qui n’attendent qu’à être dirigées.

— Tu crois être libre. Tu es enchaînée à tes illusions. Mais moi, je peux te libérer. À condition que tu acceptes de m’obéir.

Je n’ai rien dit. Mais à l’intérieur, j’ai hurlé oui.

Ce soir-là, en rentrant, je me suis masturbée dans mon lit, fébrile, la voix du professeur dans la tête. Il ne m’avait pas touchée, et j’ai joui plus fort que jamais.
Et si toi aussi, tu veux entendre une voix capable de jouer avec ton esprit, appelle-moi… Le téléphone rose, c’est fait pour ça.

La descente.

Les semaines suivantes, il m’a initiée à des exercices. Pas physiques. Psychologiques.

Il me faisait écrire mes fantasmes, avec des contraintes précises :

“Tu décriras ce que tu ressens quand tu t’imagines à genoux sous un bureau, sans parler de ton corps. Juste ton esprit.”

Je devenais l’objet de son regard intellectuel. Une chose à façonner. Il m’interdisait de me caresser tant qu’il ne me l’autorisait pas.

Une fois, il m’a appelée en pleine nuit.

— Tu dors ? Bien. Maintenant, tu te lèves. Tu t’agenouilles au pied de ton lit. Tu restes là, silencieuse, trente minutes. Ensuite, tu pourras jouir. Si tu en es capable.

J’ai obéi. Et j’ai joui. Longuement. Avec les larmes aux yeux. Parce qu’il avait réussi à me posséder, sans même être là. C’était de la soumission mentale pure.

Et maintenant, quand j’écoute les voix chaudes du téléphone rose, je cherche ce même frisson… Cette autorité douce, ce pouvoir lent qui me dresse intérieurement.

Ce qu’il a réveillé.

Il m’a fait lire des textes interdits. Il m’a fait écrire mes confessions les plus sales sur du papier à en-tête universitaire.

Il me parlait souvent à voix basse, juste derrière moi, pendant que je travaillais. Il ne me touchait pas. Il me contrôlait.

— Tu n’es plus une élève. Tu es un projet. Je veux faire de toi une soumise consciente. Une œuvre d’obéissance.

Ses mots étaient comme du venin délicieux. Ils s’insinuaient en moi. Je n’étais plus qu’un pantin heureux de son emprise.

Il m’a dit un jour :
— Tu ferais une excellente hôtesse. Tu as la voix. Tu as la perversion contenue. Appelle les hommes. Joue avec leur tête. Sers-toi de ce que tu as appris.

Alors je l’ai fait.

Ma voix, ton addiction.

Aujourd’hui, je suis hôtesse sur une ligne de téléphone rose érotique. J’ai 24 ans, la voix douce, l’esprit aiguisé, et les mots qu’il m’a enseignés.

Quand tu appelles, je ne te saute pas dessus. Je m’immisce lentement. Je te fais parler. Je veux savoir ce qui te tord le ventre. Je veux te faire comprendre que ton excitation commence là, entre tes oreilles.

Je suis cette étudiante brillante devenue maîtresse des mots, mais esclave du souvenir de son professeur.

Et toi, tu deviens quoi sous ma voix ? Tu penses résister ?

Si tu aimes les fantasmes érotiques dominants, les femmes intelligentes, froides et délicieusement perverties… Alors appelle-moi.
Sur le téléphone rose, je prends ton esprit bien avant ton corps.

Un appel. Une possession.

Je n’ai jamais cessé d’obéir. Même aujourd’hui, parfois, il m’envoie un SMS. Juste une phrase. Et je me transforme. Je redeviens cette élève tremblante, agenouillée dans l’ombre de sa bibliothèque.

Mais quand je suis en ligne, c’est moi qui contrôle. Moi qui fais de toi un esclave de mes silences, de mes soupirs.
Un soupir vaut mille caresses.

Tu veux jouer avec mon intelligence ? Te perdre dans mon contrôle verbal ?
Appelle-moi sur le téléphone rose.

Je suis Élise. Et je suis faite pour ça.

Sous l’emprise du Professeur : fantasmes érotiques et soumission au téléphone rose